Une question ?
Nous sommes à votre service pour y répondre

Du lundi au vendredi un agent de la régie prendra le soin de vous répondre ou de vous rappeler.

Adresse

15bis Gd Rue de Vaise
69009 Lyon

Téléphone

04 37 50 33 56

Réseaux sociaux
Nicolas Bouscasse

Sélectionnez un motif

Je cherche un SYNDIC DE COPROPRIÉTÉ
Je cherche bien à LOUER ou à louer un appartement
Je veux VENDRE ou
ACHETER un bien
Autres demandes

Les questions que vous vous posez ?

Le locataire peut résilier le contrat de location à tout moment, dans les conditions de forme et de délai prévues à l’article 15.

En location vide comme en location meublée le congé donné par le locataire doit être notifié :

  • par lettre recommandée avec demande d’avis de réception
  • ou signifié par acte d’huissier.

Depuis la loi ALUR (pour la location vide) et la loi Macron (pour la location meublée), il peut également être remis en main propre contre récépissé ou émargement

Pour l’envoi du congé en recommandé, le délai de préavis est décompté à partir de la date de réception de la lettre de congé par le propriétaire.

Lorsqu’il existe plusieurs locataires et que l’ensemble des locataires veut résilier le bail, leurs volontés individuelles doivent être exprimées de manière non équivoque pour le bailleur. Dans la pratique, les locataires mariés n’adressent qu’une seule lettre recommandée avec accusé de réception à leur bailleur.

En cas de congé donné par le mari seul, suivi d’un second congé, notifié en commun, c’est ce dernier congé qui marque le point de départ du préavis de trois mois.

Contrairement au bailleur qui doit indiquer le motif de la reprise du logement et de son non-renouvellement dans son congé, le locataire n’a aucune obligation de motiver son départ.

Sauf en en location vide, le locataire bénéficie d’un délai réduit de préavis, il doit préciser le motif invoqué et le justifier au moment de l’envoi du congé.

  • En cas d’obtention d’un premier emploi, de mutation, de perte d’emploi ou de nouvel emploi consécutif à une perte d’emploi ;
  • si son état de santé, constaté par un certificat médical, justifie un changement de domicile
  • s’il est bénéficiaire du revenu de solidarité active (RSA).
  • dans les zones tendues, le temps de vacances dans ces zones étant très faible ;
  • pour les locataires bénéficiaires de l’allocation adulte handicapé (AAH) ;
  • pour les locataires attributaires d’un logement social.

A. – Une pièce justificative d’identité en cours de validité, comportant la photographie du titulaire parmi les documents suivants :

  1. Carte nationale d’identité française ou étrangère.
  2. Passeport français ou étranger.
  3. Permis de conduire français ou étranger.
  4. Document justifiant du droit au séjour du candidat à la location étranger, notamment, carte de séjour temporaire, carte de résident, carte de ressortissant d’un Etat membre de l’Union européenne ou de l’Espace économique européen.

B. – Une seule pièce justificative de domicile parmi les documents suivants :

  1. Trois dernières quittances de loyer ou, à défaut, attestation du précédent bailleur, ou de son mandataire, indiquant que le locataire est à jour de ses loyers et charges.
  2. Attestation d’élection de domicile établissant le lien avec un organisme agréé au titre de l’article L. 264-2 du code de l’action sociale et des familles.
  3. Attestation sur l’honneur de l’hébergeant indiquant que le candidat à la location réside à son domicile.
  4. Dernier avis de taxe foncière ou, à défaut, titre de propriété de la résidence principale.

C. – Un ou plusieurs documents attestant des activités professionnelles parmi les documents suivants :

  1. Contrat de travail ou de stage ou, à défaut, une attestation de l’employeur précisant l’emploi et la rémunération proposée, la date d’entrée en fonctions envisagée et, le cas échéant, la durée de la période d’essai.
  2. L’extrait K ou K bis du registre du commerce et des sociétés de moins de trois mois pour une entreprise commerciale.
  3. L’extrait D 1 original du registre des métiers de moins de trois mois pour un artisan.
  4. La copie du certificat d’identification de l’Insee, comportant les numéros d’identification, pour un travailleur indépendant.
  5. La copie de la carte professionnelle pour une profession libérale.
  6. Toute pièce récente attestant de l’activité pour les autres professionnels.
  7. Carte d’étudiant ou certificat de scolarité pour l’année en cours.

D. – Un ou plusieurs documents attestant des ressources parmi les documents suivants :

  1. Le dernier ou avant-dernier avis d’imposition ou de non-imposition et, lorsque tout ou partie des revenus perçus n’a pas été imposé en France mais dans un autre Etat ou territoire, le dernier ou avant-dernier avis d’imposition à l’impôt ou aux impôts qui tiennent lieu d’impôt sur le revenu dans cet Etat ou territoire ou un document en tenant lieu établi par l’administration fiscale de cet Etat ou territoire.
  2. Trois derniers bulletins de salaires.
  3. Justificatif de versement des indemnités de stage.
  4. Les deux derniers bilans ou, à défaut, une attestation de ressources pour l’exercice en cours délivré par un comptable pour les professions non salariées.
  5. Justificatif de versement des indemnités, retraites, pensions, prestations sociales et familiales et allocations perçues lors des trois derniers mois ou justificatif de l’ouverture des droits, établis par l’organisme payeur.
  6. Attestation de simulation établie par l’organisme payeur ou simulation établie par le locataire relative aux aides au logement.
  7. Avis d’attribution de bourse pour les étudiants boursiers.
  8. Titre de propriété d’un bien immobilier ou dernier avis de taxe foncière.
  9. Justificatif de revenus fonciers, de rentes viagères ou de revenus de valeurs et capitaux mobiliers.

Liste des pièces justificatives pouvant être exigées de leurs cautions

A. – Pour les cautions personnes physiques, une pièce justificative d’identité en cours de validité, comportant la photographie du titulaire parmi les documents suivants :

  1. Carte nationale d’identité française ou étrangère ;
  2. Passeport français ou étranger ;
  3. Permis de conduire français ou étranger ;

B. – Pour les cautions personnes morales les deux justificatifs :

  1. Extrait K bis original de moins de trois mois de la société ou les statuts ou toute autre pièce justifiant de l’existence légale de la personne, faisant apparaître le nom du responsable et l’adresse de l’organisme ainsi que la preuve qu’une déclaration a été effectuée auprès d’une administration, une juridiction ou un organisme professionnel.
  2. Justificatif d’identité du représentant de la personne morale figurant sur l’extrait K bis ou les statuts.

C. – Une seule pièce justificative de domicile parmi les documents suivants :

  1. Dernière quittance de loyer.
  2. Facture d’eau, de gaz ou d’électricité de moins de trois mois.
  3. Attestation d’assurance logement de moins de trois mois.
  4. Dernier avis de taxe foncière ou, à défaut, titre de propriété de la résidence principale.

D. – Un ou plusieurs documents attestant des activités professionnelles parmi les documents suivants :

  1. Contrat de travail ou de stage ou, à défaut, une attestation de l’employeur précisant l’emploi et la rémunération proposée, la date d’entrée en fonctions envisagée et le cas échéant la durée de la période d’essai.
  2. L’extrait K ou K bis du registre du commerce et des sociétés datant de moins de trois mois pour une entreprise commerciale.
  3. L’extrait D 1 original du registre des métiers de moins de trois mois pour un artisan.
  4. La copie du certificat d’identification de l’Insee, comportant les numéros d’identification, pour un travailleur indépendant.
  5. La copie de la carte professionnelle pour une profession libérale.
  6. Toute pièce récente attestant de l’activité pour les autres professionnels.

E. – Un ou plusieurs documents attestant des ressources parmi les documents suivants :

  1. Dernier avis d’imposition ou de non-imposition et, lorsque tout ou partie des revenus perçus n’a pas été imposé en France mais dans un autre Etat ou territoire, le dernier avis d’imposition à l’impôt ou aux impôts qui tiennent lieu d’impôt sur le revenu dans cet Etat ou territoire ou un document en tenant lieu établi par l’administration fiscale de cet Etat ou territoire.
  2. Titre de propriété d’un bien immobilier ou dernier avis de taxe foncière.
  3. Trois derniers bulletins de salaires.
  4. Les deux derniers bilans ou, à défaut, une attestation de ressources pour l’exercice en cours délivré par un comptable pour les professions non salariées.
  5. Justificatif de versement des indemnités, retraites, pensions, prestations sociales et familiales et allocations perçues lors des trois derniers mois ou justificatif de l’ouverture des droits, établis par l’organisme payeur.
  6. Justificatif de revenus fonciers, de rentes viagères ou de revenus de valeurs et capitaux mobiliers.

Nous avons mis en place tous les moyens de paiement

  • Par chèque. Moyen qui n’a pas notre préférence. Nous n’encaissons que les chèques représentant le paiement du trimestre.
  • Par virement
  • Par prélèvement automatique (compta@regiebouscasse.com pour le mettre en place)
  • Par @prélevement à l demande via notre extranet
  • Par CB via notre site extranet.

Le RIB  de chaque copropriété est sous l’extranet.

La première chose à faire en fonction de l’importance de ce dernier est de

  • Prévenir votre syndic de copropriété
  • Faire une déclaration à sa compagnie d’assurances
  • Prévenir les voisins des conséquences de votre sinistres pour leur habitat, ou prendre attache avec eux dans le cadre d’une recherche de fuite

Certains sinistres sont réglés par des conventions entre assureur. Tous les assureurs ne sont pas signataires des conventions.

La convention la plus connue car la plus appliquées est la convention IRSI qui remplacé la convention CIDRE .

La convention IRSI simplifie la gestion des dégâts des eaux et incendies en immeuble. Elle désigne un assureur gestionnaire unique et encadre clairement les démarches d’indemnisation et de recherche de fuite.

Elle s’applique pour des sinistres inférieurs à 5 000 € HT, dans les immeubles d’habitation, même meublés ou inoccupés, à condition que deux assureurs adhérents soient impliqués.

Sont exclus les sinistres dépassant 5 000 €, les locaux professionnels ou certaines infiltrations spécifiques. D’autres conventions comme la CIDE-COP prennent le relais dans ces cas.

L’IRSI se distingue par sa prise en charge des recherches de fuite, sa gestion centralisée et ses deux tranches d’indemnisation, avec ou sans recours entre assureurs selon les montants.

Trouver l’origine d’une fuite peut nécessiter d’ouvrir des murs, casser du carrelage ou inspecter les canalisations. La convention IRSI encadre tout cela. Elle indique qui organise la recherche et qui paie.

En général, c’est l’assureur de l’occupant du local à l’origine de la fuite qui s’en charge. Si le logement est vide, non assuré ou en indivision, c’est l’assureur du propriétaire ou de la copropriété qui prend le relais.

Les frais liés à la recherche, même destructifs, sont pris en charge. Et si vous devez avancer les dépenses, conservez bien tous les justificatifs. La convention prévoit aussi que si aucun assureur n’a encore été désigné, l’assuré peut commander la recherche et se faire rembourser après, à condition de prouver son utilité.

Se rendre sur le site internet www.regiebouscasse.com, allez sur l’interface client.

Munissez vous adresser à la régie qui vous donnera votre login (déjà présent sur vos appels de fonds) ainsi que votre mot de passe de base. Connectez vous et changer votre mot de passe personnalisé.

N’oubliez pas de vérifier que les coordonnées postales, téléphoniques mail soient bien à jour.